Sur le deuxième point, puisque les IP sont dynamiques, si l'on veut que le processus soit entièrement automatisé, il faut bien autoriser vnc sur son port dédié quelle que soit l'ip demandeuse:
on est à un mot de passe près de prendre possession de l'intégralité de la machine, d'où l'idée de crypter les communications via VPN (Hamachi en l'ocurrence).
D'un côté, on tombe de Charybde en Scylla puisque Hamachi est une sorte de peer to peer, et qu'il faut bien autoriser UDP sur une plage dynamique et TCP sur celle probable du FAI, de l'autre, l'adresse ip virtuelle Hamachi 5.xx..... est en principe non routable en dehors de Hamachi, les communications y sont cryptées, et non, ça ne ralentit pas sensiblement le système (à cet égard, radmin est moins lent que vnc).
Sur le dernier point, la version freeware de Hamachi ne permet pas de l'installer comme un service avant l'identification utilisateur, il convient pour cela d'utiliser les outils srvany et instsrv du Resource Kit Win 2000, ou bien d'utiliser un outil équivalent, il y a peut-être ça par exemple chez Sysinternals (psservice).
Sans quoi on aura peut-être sécurisé le web, mais pas les détestables petites mains sur le poste local.